Dans un premier temps:
Ils
ont partagé dans la convivialité un repas avec toutes les
personnes qui étaient venues … ils avaient des forces incroyables
… jusqu’à arriver à faire venir les convives
à leur suite l’un derrière l’autre à
la nef centrale de l’abbaye... pour un :
Second
temps de louange à la création : Les jardins?
Ils avaient leurs outils de prière: Râteau,
serpette, brouette, bêche, arrosoir – leurs convictions immenses les
assuraient de trouver des jardins à travailler écologiquement dans l’Eglise
… Et ce fut ainsi !
Les
jardins?
Ce
sont quatre jardins extraordinaires
( un air bien connu) ... qui nous attendaient
dans l'abbatiale ! L’un était japonais, l’autre exotique, l’avant
dernier d’agrément et le dernier potager ! Quant aux jardiniers cela
se remarquait à leur allure, ils étaient multiculturels et leurs vêtements
ne contenaient pas une fibre de synthétique du chapeau aux bottes -tout
était naturel – sauf pour l’un des quatre.. qui usait de pesticides,
de produits riches en sulfates.
Ils se comprenaient dans leur langue propre et parlaient sérieusement
des problèmes liés à notre planète: notre terre à respecter ...
Le Qui vient
aussi vite :
Qui nous a fait ce don ? Qui le maintient
? Et l’homme qu’en fait-il ? L’origine de toutes choses créées se glisse
dans leurs réflexions (éclairées par des extraits
de la lettre de Benoît XVI) Lire:
la place de l’homme et de tout ce qui existe… et, après un silence qui
advient brusquement des mots s’entendent... La Parole de Dieu est proclamée
dans la Genèse 1,27-2,1
Nous découvrons le Dieu créateur puis, l’homme qu’il a créé en dernier
dans une proximité étonnante. Il lui fait confiance et heureux de son
oeuvre il le nomme co.créateur.
Les
jardiniers sont stupéfaits, le Psaume chanté de la Création récapitule
ce geste originel ... ils découvrent
aussi le texte de Benoît XVI...